La protection WordPress ultime

Si vous avez déjà étudié des batailles de grande renommée dans l’histoire, vous saurez qu’il n’y en a pas deux identiques. Pourtant, il existe des stratégies et des tactiques similaires, souvent utilisées au combat, car elles ont fait leurs preuves.

De même, lorsque des cybercriminels piratent une entreprise, ils ne réinventent pas la roue, à moins qu’ils n’y soient absolument obligés : il s’appuie sur des types courants de techniques de piratage connues pour être très efficaces, telles que les logiciels malveillants, l’hameçonnage ou script intersites (XSS). Cela aide à comprendre les différents vecteurs d’attaque qu’un acteur malveillant pourrait tenter contre vous pour causer des dommages. Voici un aperçu de d’ attaque parmi les plus courantes observés aujourd’hui.

Étape une : Hameçonnage
Bien sûr, il y a de fortes chances que vous n’ouvririez pas simplement une pièce jointe au hasard ou que vous ne cliqueriez pas sur un lien dans n’importe quel e-mail qui vous parviendrait. Il doit y avoir une raison impérieuse pour que vous agissiez.

Lorsqu’un attaquant veut que vous installiez un logiciel malveillant ou que vous divulguiez des informations sensibles, il se tourne souvent vers des tactiques d’hameçonnage. Grâce à un site wordpress piraté, il utilisera php mail, pouvant ainsi se fait passer pour une personne qui vous incitera à entreprendre une action que vous ne feriez pas normalement.

Puisqu’elles reposent sur la curiosité et les impulsions humaines, les attaques d’hameçonnage peuvent être difficiles à arrêter.

Étape deux : on reste calme.

Ne jamais intervenir de suite est la base d’un hacking réussi.  Lorsque le fichier malveillant est installé, il laissera le temps à votre système de faire une sauvegarde. Faisant ainsi partie intégrante de votre système, aucun antivirus ne le verra comme étant malveillant. Notre protection WordPress agit au moment même ou le code est implanté. Rendant vos sauvegardes saines et utilisable contre les attaques de grandes ampleurs.

Étape trois : exfiltrer les informations

Le vol de données, d’informations d’identification, d’informations de paiement, etc. est un thème récurrent dans le domaine de la cybercriminalité. Les logiciels malveillants axés sur ce type de vol peuvent être extrêmement coûteux pour une personne, une entreprise ou une cible gouvernementale qui en est victime.

Opération finale : interrompre les opérations et demander le paiement 

Travailler activement pour « provoquer des problèmes » pour le fonctionnement d’une cible est un autre objectif observé dans les logiciels malveillants. D’un virus sur un seul ordinateur corrompant des fichiers critiques du système d’exploitation (rendant ce système inutilisable) à une autodestruction physique orchestrée de nombreux systèmes dans une installation, le niveau de « perturbation » peut varier. Et, il y a aussi le scénario avec lequel les systèmes infectés sont dirigés pour mener des attaques par déni de service distribué (DDOS) à grande échelle. Certains logiciels malveillants visent à extorquer directement de l’argent à la cible. Les scarewares utilisent des menaces creuses (ceux qui ne sont pas fondés et/ou qui ne peuvent pas être exécutés) pour « effrayer » la cible afin qu’elle paie de l’argent.
Un rançongiciel est un type de logiciel malveillant qui tente d’empêcher une cible d’accéder à ses données (généralement en cryptant des fichiers sur la cible) jusqu’à ce que la cible « paye ».

Bien qu’il y ait un débat sur la question de savoir si les victimes de ransomwares devraient ou non payer, le ransomware est devenu une menace suffisante au point que certaines entreprises ont acheté de manière préventive Bitcoin au cas où elles seraient touchées par un ransomware et décideraient de payer la rançon.